L’ARCOM a refusé l’agrément demandé par le groupe Métropole Télévision pour modifier le financement de Paris Première, estimant que ce service ne risquait pas de disparaître à court ou moyen terme. La décision a été confirmée par le Conseil d’État, qui a souligné que Paris Première, diffusé par divers réseaux, ne présentait pas de menace imminente. De plus, L’ARCOM a noté que la diffusion gratuite pourrait nuire à d’autres chaînes existantes. Malgré une baisse des recettes publicitaires, Paris Première restait bénéficiaire, justifiant ainsi le refus d’agrément sans erreur d’appréciation.
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