Le licenciement d’une salariée responsable de la communication a été validé par les juges en raison de son manque d’implication sur les réseaux sociaux, jugés essentiels pour l’activité de l’employeur. Malgré l’importance croissante de ces outils, elle a refusé de suivre des formations pour améliorer ses compétences, se cantonnant à des méthodes traditionnelles. Les preuves ont montré qu’elle n’avait proposé aucune idée novatrice et s’était opposée à des initiatives, ce qui a entraîné des difficultés pour certains clients. En outre, sa plainte pour harcèlement moral a été rejetée, n’ayant pas établi de faits probants à cet égard.
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