Mme X, secrétaire de rédaction spécialisée dans le vin, a été licenciée pour faute grave après avoir refusé de rédiger des publi-rédactionnels. Contestant cette décision, elle a saisi le Conseil de prud’hommes, arguant que la convention collective des journalistes interdit d’exiger un tel travail. Cependant, son contrat stipulait qu’elle devait rédiger des articles publi-rédactionnels, et elle avait accepté cette clause. La Cour d’appel de Versailles a jugé que son licenciement était fondé, car le refus d’exécuter un travail prévu dans son contrat ne pouvait pas être considéré comme une faute professionnelle.
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