Un technicien audiovisuel a été licencié pour agressivité verbale et retards répétés, justifiant ainsi une cause réelle et sérieuse selon l’article L.1232-1 du code du travail. La lettre de licenciement, conforme à l’article L.1232-6, énonce des faits précis et contrôlables, liant les parties et le juge. La charge de la preuve n’incombe pas spécifiquement à l’une ou l’autre des parties, le doute devant profiter au salarié (article L.1235-1). Les faits reprochés doivent être objectivement établis et imputables au salarié, ce qui a été confirmé par la cour d’appel de Versailles dans son arrêt du 2 juin 2021.
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