La liberté d’expression syndicale en entreprise de presse est un sujet délicat. Un journaliste, en publiant un encart critique sur les revendications salariales, a été mis à pied pour avoir enfreint les valeurs de neutralité du journal. Bien que la direction ait jugé cette publication comme un manquement à la déontologie, la mise à pied a été annulée en raison de l’absence de règlement intérieur définissant les sanctions. En revanche, un autre article du même journaliste, jugé non impartial, a conduit à un avertissement confirmé, soulignant l’importance de respecter les obligations professionnelles et la ligne éditoriale.
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