Une salariée a demandé réparation pour l’utilisation non autorisée de son image à des fins commerciales par son employeur. Selon la jurisprudence, la diffusion de l’image d’un salarié nécessite son autorisation expresse. Bien qu’elle ait posé pour une photo d’entreprise, cela ne constitue pas un consentement pour une utilisation ultérieure. En l’absence de cette autorisation, la salariée a été jugée fondée à réclamer des dommages-intérêts pour le préjudice subi, s’élevant à 3000 €. Cette affaire souligne l’importance du respect du droit à l’image des employés dans le cadre professionnel.
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