Dans le secteur audiovisuel, le harcèlement moral peut se manifester par des tâches dévalorisantes et une dégradation des conditions de travail. Dans une affaire récente, une salariée a été contrainte d’effectuer des missions subalternes, comme l’achat de fournitures pour un animal, en plus de ne pas recevoir de paiement pour ses heures supplémentaires. Ces éléments, couplés à des documents médicaux, ont permis de présumer l’existence d’un harcèlement moral. L’employeur n’a pas réussi à justifier ses décisions par des raisons objectives, entraînant une reconnaissance du préjudice et une indemnisation de 10 000 euros pour la salariée.
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