M.X. licencié, demandait devant la juridiction prud’homale le paiement d’une somme à titre de remboursement de frais téléphoniques liés à l’usage de son téléphone portable pendant sa période de préavis. M.X a obtenu gain de cause tant en appel qu’en cassation. Mots clés : factures téléphoniques,factures,salarié,téléphone,préavis,licenciement,solde,téléphonie Thème : Factures telephoniques A propos de cette jurisprudence : juridiction : Cour de cassation, ch. soc. | 18 octobre 2006 | Pays : France |
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Quelles élections ont été organisées par France Télévision et France 2 en décembre 2005 ?Les sociétés France Télévision et France 2 ont organisé, à la fin de décembre 2005, des élections pour désigner les membres salariés de leurs conseils d’administration. Ces élections étaient déterminantes pour la gouvernance de ces entités, car les conseils d’administration jouent un rôle essentiel dans la prise de décisions stratégiques et la gestion des ressources. Les membres élus sont responsables de la supervision des opérations et de la direction des sociétés, ce qui souligne l’importance de ces élections dans le cadre de la gestion des médias en France. Quel a été le jugement du tribunal d’instance concernant la liste électorale ?Le tribunal d’instance du 15e arrondissement a statué que seuls les réalisateurs justifiant d’un contrat direct en cours au jour du scrutin pouvaient être inscrits sur la liste électorale. Cette décision a été prise dans le cadre d’une demande d’annulation des élections, soulignant ainsi les critères d’éligibilité pour participer à ce processus électoral. Le jugement a mis en lumière les spécificités du statut des réalisateurs, qui peuvent avoir des contrats intermittents, mais cela n’a pas été jugé suffisant pour modifier les conditions d’électorat. Comment le syndicat SRCTA a-t-il réagi à ce jugement ?Le syndicat SRCTA a contesté le jugement du tribunal d’instance, mais cette contestation n’a pas abouti. Le syndicat a probablement estimé que les conditions d’électorat étaient trop restrictives et ne prenaient pas en compte la réalité du travail intermittent des réalisateurs de télévision. Cependant, la cour a maintenu que le caractère intermittent du travail ne justifiait pas une adaptation des conditions d’électorat et d’éligibilité pour ces élections. Quelle est la portée de cette jurisprudence ?Cette jurisprudence, rendue par la Cour de cassation le 6 décembre 2006, a des implications significatives pour les élections au sein des sociétés de médias en France. Elle établit un précédent concernant les critères d’éligibilité des électeurs et des candidats, en particulier pour les professions ayant des contrats de travail intermittents. Cela pourrait influencer la manière dont d’autres organisations gèrent leurs processus électoraux, en clarifiant les exigences légales et en renforçant la nécessité de respecter les contrats en cours au moment des élections. |
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