L’affaire Mango illustre le concept de parasitisme par effet de gamme dans le prêt-à-porter. La société a été condamnée pour avoir intégré dans sa collection Mango Kids des modèles inspirés de ceux de la société Speaking Image, créant ainsi une confusion. Malgré l’apposition du sigle « Mango » sur les vêtements, cela n’a pas suffi à écarter le risque de confusion avec la marque concurrente. La notoriété de la collection lésée a permis de démontrer que Mango avait profité de l’image haut de gamme de son concurrent, soulignant l’importance de la protection des créations dans l’industrie de la mode.
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