La municipalité de Lyon a obtenu l’autorisation judiciaire de déplacer une statue, sans opposition de l’auteur. Les juges ont estimé que ce déplacement ne violait pas le droit moral de l’auteur, car l’esprit de l’œuvre futuriste ne correspondait pas à celui du nouveau site d’exposition. Cette décision a été renforcée par la présence d’une seconde statue identique ailleurs dans la ville. Ainsi, le tribunal a affirmé que le droit moral, bien que inaliénable, ne s’appliquait pas dans ce contexte particulier, soulignant la complexité des relations entre l’œuvre et son environnement.
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