Mme X, déléguée générale de l’association Société des réalisateurs de films, a contesté la nature de ses quatre contrats à durée déterminée (CDD) en demandant leur requalification en contrat à durée indéterminée (CDI). Sa requête a été rejetée par la juridiction prud’homale, tant en appel qu’en cassation. La Cour a souligné que, dans le secteur audiovisuel, l’usage est de privilégier les CDD en raison de la nature temporaire des emplois. Cette décision illustre les spécificités du droit du travail dans le domaine de l’audiovisuel, où les contrats à durée déterminée sont couramment employés.
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