Suite à la mort tragique de policiers, Mme X, veuve d’une des victimes, a assigné Paris Match pour atteinte à son intimité. Le magazine, en publiant des photographies des obsèques, a défendu le droit à l’information, soulignant que Mme X était directement liée à l’actualité. La Cour d’appel de Versailles, puis la Cour de cassation, ont débouté Mme X, considérant que les images, prises en présence d’autorités, illustraient de manière appropriée l’article sans porter atteinte à sa dignité. Cette décision souligne l’équilibre entre le droit à l’image et le droit à l’information dans des contextes d’actualité.
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