La Cour de cassation a censuré l’arrêt de la Cour d’appel concernant l’ARCEPicle du mensuel Entrevue, jugé diffamatoire par un jeune chanteur et les sociétés TF1 et Glem. Bien que le magazine soit reconnu pour son ton critique et sarcastique, la Cour a rappelé que la bonne foi ne peut être présumée que si des faits justificatifs suffisants sont présentés. Elle a souligné que le sarcasme, même dans un contexte humoristique, n’exonère pas d’une obligation de prudence et d’objectivité, affirmant que les termes utilisés dépassaient les limites acceptables de la dérision.
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