Dans l’affaire de diffamation concernant un général, la Cour de cassation a précisé que les propos incriminés ne l’impliquaient pas comme complice du génocide rwandais, mais plutôt comme « complice de l’inavouable ». Les juges ont reconnu la bonne foi de l’auteur du livre « Complices de l’inavouable – la France au Rwanda », soulignant l’importance d’informer le public sur le rôle de la France dans ce drame historique. L’enquête sérieuse menée par l’auteur, incluant des investigations sur le terrain et des entretiens avec des témoins, a permis de justifier les allégations tout en respectant la liberté d’expression.
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