Suite à un communiqué de l’AFP, Louis X, enseignant de primaire, a porté plainte pour diffamation. Il accusait le MRAP d’atteinte à son honneur en présentant ses propos sur Mahomet comme des faits avérés. Le tribunal a jugé les déclarations diffamatoires, mais a relaxé le MRAP en invoquant la bonne foi, soulignant que les propos avaient été dénaturés par la journaliste de l’AFP, qui n’avait pas fourni de preuves pour étayer ses affirmations. Cette décision a été confirmée en appel et en cassation, illustrant les enjeux de la liberté d’expression et de la protection de la réputation.
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