La désinstallation d’un logiciel entraîne la perte des droits d’utilisation, car chaque licence est liée à un matériel spécifique. En cas de réinstallation, un nouveau code de sérialisation est nécessaire, impliquant l’achat de nouvelles licences. Dans un litige, un client a dû réinstaller Windows Server 2003R2 et a accepté d’acheter de nouvelles licences, pensant pouvoir réutiliser les anciennes clés. Les juges ont rejeté ses arguments concernant l’erreur sur ses droits, affirmant qu’il avait agi en connaissance de cause. La réactivation des anciennes licences ne pouvait pas annuler l’achat des nouvelles, validant ainsi le contrat.
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