Une salariée d’un centre de bronzage a été licenciée après avoir posté des messages sur Twitter critiquant son employeur et sa hiérarchie. Bien que ses tweets aient été jugés comme un manque d’enthousiasme plutôt que du dénigrement, d’autres comportements violents envers une collègue ont été retenus contre elle. Les juges ont noté que ses messages ne permettaient pas d’identifier l’entreprise, mais les insultes et menaces corroborées par des témoins ont constitué une cause réelle et sérieuse de licenciement. Ainsi, la liberté d’expression de la salariée a été limitée par ses actes inappropriés.
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