Un rédacteur de jeux vidéo a le droit de publier une critique fondée sur son expérience, sans être accusé de dénigrement. Son article, bien référencé, contribue à un débat d’intérêt général, en présentant des arguments mesurés et constructifs. La critique, bien que négative, repose sur des observations détaillées et objectives, sans excès ni injures. En conséquence, l’auteur ne peut être tenu responsable d’un trouble manifestement illicite envers la société Topi Games, qui a tenté de faire retirer l’article. Ce dernier participe à l’exercice légitime de la liberté d’expression, essentiel dans le domaine des jeux de société.
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