En 1999, lors de l’émission « Tout le monde en parle », Noël Mamère a accusé M.P., responsable du Service central de Protection contre les Rayons ionisants, de mensonge concernant la contamination de la France suite à Tchernobyl. M.P. a alors poursuivi Mamère et France 2 pour diffamation. Bien que condamnés en France, la Cour européenne des droits de l’homme a jugé que la condamnation violait la liberté d’expression. La CEDH a souligné l’importance des propos de Mamère, liés à des enjeux d’intérêt général, affirmant que sa condamnation était disproportionnée au regard de son rôle d’élu engagé.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.