Un site Internet a accusé la société T. de financer des mouvements islamistes radicaux, affirmant qu’elle était au cœur du soutien saoudien à l’islamisme international. Ces allégations ont été jugées diffamatoires par la Cour de cassation, qui a condamné l’éditeur du site. Cette décision souligne l’importance de la responsabilité des propos tenus en ligne et rappelle que la diffamation, même sur Internet, constitue un délit de presse. La protection de la réputation des entreprises est essentielle dans le cadre des échanges numériques, où les informations peuvent se propager rapidement et avoir des conséquences graves.
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