La Cour de cassation a tranché le litige entre Greenpeace et EDF, mettant en lumière des actes d’espionnage et de piratage informatique. Un prestataire d’EDF a reconnu avoir accédé illégalement au système de Greenpeace, mais la Cour a conclu qu’il avait agi sans l’approbation de sa hiérarchie. EDF, quant à elle, a été relaxée, justifiant ses mesures de sécurité par des intrusions répétées de Greenpeace, qui menaçaient la crédibilité de ses installations nucléaires. Le responsable de la sécurité d’EDF n’était pas au courant des actions illicites menées par le prestataire, n’ayant pas contribué aux actes délictueux.
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