Cour de cassation, 20 octobre 2009
Cour de cassation, 20 octobre 2009

Type de juridiction : Cour de cassation

Juridiction : Cour de cassation

Thématique :

Résumé

Dans l’affaire de contrefaçon de logiciel opposant Microsoft à un tiers, la Cour de cassation a souligné l’importance de reconnaître le préjudice moral, même s’il est jugé « symbolique ». Les juges doivent s’efforcer d’évaluer l’étendue de ce préjudice afin d’assurer une réparation complète. Cette décision rappelle que la protection des droits d’auteur et des logiciels est essentielle, et que toute atteinte à ces droits doit être compensée, indépendamment de la nature du préjudice. La jurisprudence met ainsi en lumière la responsabilité des juges dans l’évaluation des dommages subis par les éditeurs de logiciels.

Dans cette affaire de contrefaçon de logiciel de la société Microsoft, la Cour de cassation a précisé que même si le préjudice moral subi par cet éditeur de logiciels est « symbolique », les juges du fond ont l’obligation d’en rechercher l’étendue pour le réparer dans son intégralité.

Mots clés : contrefaçon

Thème : Contrefaçon – Prejudice

A propos de cette jurisprudence : juridiction :  Cour de cassation, ch. crim. | Date : 20 octobre 2009 | Pays : France

 

 


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