Suite à la mort suspecte de plusieurs personnes lors du crime de Chevaline, BFM a publié des photographies de la scène, y compris d’un cadavre. Les ayants-droit du défunt ont porté plainte pour atteinte à l’intégrité d’un cadavre et violation du secret de l’instruction. Cependant, les juges ont estimé que la diffusion des images, sans altération physique du corps, ne constituait pas une atteinte à son intégrité. De plus, les clichés floutés ne portaient pas atteinte à la dignité de la victime. Les poursuites pour violation du secret de l’instruction ont également été classées sans suite, faute de preuves.
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