La Cour de cassation a censuré la condamnation pour diffamation du maire adjoint de Nice, affirmant que la liberté d’expression ne doit être limitée que par des mesures nécessaires. Les propos incriminés, bien que critiques envers un responsable politique, étaient basés sur des déclarations d’un tiers et s’inscrivaient dans une enquête d’intérêt général. Le journaliste, bien qu’ayant l’obligation de vérifier les faits, ne pouvait être tenu de prendre ses distances avec les propos rapportés, car leur diffusion contribuait à informer le public sur des questions de radicalisation et de passivité des autorités.
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