Château Pétrus a intenté une action en justice après avoir découvert la vente d’un vin prétendu comme son second vin. La Cour de cassation a relaxé les cogérants, estimant qu’il n’y avait pas de confusion possible pour le consommateur. En effet, l’étiquette du vin en question ne laissait pas de place à l’ambiguïté, et un consommateur averti comprendrait que Pétrus, un vin prestigieux de Pomerol, ne peut pas être vendu à un prix aussi bas que 10 euros. Les juges ont souligné que l’utilisation de la marque par les frères Petrus ne trompait pas le client, mais attirait simplement son attention.
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