Cour de cassation, 11 décembre 2018
Cour de cassation, 11 décembre 2018
Le tournage d’un film érotique à la mairie d’Asnières, autorisé par l’ancien maire, a suscité une vive controverse. Le maire en exercice a relayé sur Twitter des articles qualifiant le film de « porno », ce qui a conduit à des accusations de diffamation. Lors d’une séance du conseil municipal, il a projeté des extraits du film, aggravant ainsi la situation. L’ancien maire-adjoint, se sentant diffamé, a porté l’affaire devant le tribunal, qui a reconnu la culpabilité du maire actuel. Les juges ont conclu que les propos tenus étaient excessifs et malveillants, détachant ainsi la responsabilité de l’exercice de ses fonctions.

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