La décision d’un juge de référé d’ordonner la publication d’un communiqué judiciaire sur la couverture d’un magazine, accusé d’atteinte à l’image et à la vie privée, n’est pas jugée excessive. La surface concernée (15×15 cm) est minime par rapport à la taille totale de la couverture (21×27 cm). Si la décision est infirmée, le magazine peut publier de nouveaux articles et une couverture réhabilitante. Paradoxalement, cette publicité pourrait même favoriser la publication en attirant l’attention d’un public avide de scandales, sans engendrer de conséquences manifestement excessives.
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