La convention de forfait jours pour les journalistes doit respecter des conditions précises, sous peine de nullité. Dans une affaire, un chef d’édition a vu sa convention annulée, car son contrat stipulait que ses horaires de travail étaient indéterminés, en raison de son autonomie. La gestion du temps était fixée à 214 jours par an, incluant les congés. De plus, l’absence d’accord collectif et de mesures de contrôle par l’employeur a conduit à la nullité de la convention, soulignant l’importance des garanties pour les journalistes salariés.
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