La diffusion de propos diffamatoires sur YouTube, accusant un ancien général des services secrets algériens de corruption, soulève des questions cruciales sur la liberté d’expression. L’absence d’enquête sérieuse et de vérification des faits expose le journaliste à une condamnation. Les allégations, telles que la réception de pots-de-vin, portent atteinte à l’honneur de la personne visée. En l’absence de preuves tangibles et d’un débat contradictoire, les juges concluent que les propos dépassent les limites de la liberté d’expression, justifiant ainsi une condamnation civile. La bonne foi de l’auteur des propos est écartée, renforçant la nécessité d’une responsabilité dans la diffusion d’informations.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.