Cour d’appel de Paris, 24 mai 2016
Cour d’appel de Paris, 24 mai 2016
L’authenticité des œuvres d’art est cruciale pour les commissaires-priseurs, qui doivent garantir l’origine des pièces qu’ils vendent. Selon le décret n° 81-255, une œuvre signée implique une garantie d’authenticité, sauf mention contraire. L’affaire Tajan illustre les conséquences d’une affirmation d’authenticité sans réserve. Le tribunal a jugé que la S.C.P TAJAN était responsable envers l’acquéreur, malgré l’assistance d’experts. Ces derniers ont été critiqués pour leur analyse superficielle, négligeant des éléments stylistiques importants. Cette situation souligne l’importance d’une évaluation rigoureuse et de la prudence dans les attributions d’œuvres d’art.

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