Mediapart a remporté un procès concernant la présomption d’innocence, après avoir publié un article sur un leader du GUD impliqué dans des actes de violence. L’article, illustré par neuf vidéos, décrivait fidèlement les événements, sans préjuger de la culpabilité. Le tribunal a jugé que les termes employés, tels que « sauvagerie » et « passer à tabac », reflétaient l’émotion des images, tout en respectant la présomption d’innocence. L’article visait à informer le public sur un sujet d’intérêt général, sans tirer de conclusions définitives sur la culpabilité du chef du GUD, respectant ainsi les droits d’expression et d’information.
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