Une mannequin cabine, après avoir travaillé plus de six ans avec 210 CDD, a réussi à faire requalifier ses contrats en un CDI. Les juridictions ont reconnu que son poste était lié à l’activité normale et permanente de l’entreprise de haute couture, malgré les allégations de surcroît temporaire d’activité. Les missions régulières d’essayage des modèles ne correspondaient pas à des tâches temporaires. La rupture de son contrat a été jugée sans cause réelle et sérieuse, entraînant une indemnité de près de 50 000 euros pour réparer le préjudice subi.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.