La clause de non-concurrence d’un journaliste est valide si elle protège les intérêts légitimes de l’entreprise, est limitée dans le temps et l’espace, et inclut une contrepartie financière. En l’absence de cette dernière, la clause est nulle. Dans une affaire, une journaliste a été déboutée de sa demande d’indemnisation après avoir violé une clause sans contrepartie, en rédigeant pour des publications concurrentes. L’employeur a prouvé la violation, ce qui a conduit à la nullité de la demande de la salariée, soulignant l’importance d’une contrepartie pour la validité de telles clauses.
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