L’affaire « Paris Invisible » met en lumière la complexité de la contrefaçon dans le domaine documentaire. M. M-N X, auteur d’un synopsis, a vu son projet de documentaire, « Paris Invisible », rejeté par la société J K, qui a ensuite produit « Paris Mystères ». La cour a jugé que les ressemblances entre les deux œuvres étaient superficielles et ne constituaient pas une contrefaçon. Les éléments communs, tels que les thèmes abordés, étaient considérés comme des idées banales, sans originalité suffisante pour établir une violation des droits d’auteur. Ainsi, la demande de M. X a été rejetée, confirmant le jugement initial.
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