→ RésuméDans un litige concernant la création d’un site internet, la juridiction a annulé un jugement du tribunal de commerce qui avait jugé que l’illisibilité de la date et de la signature sur le bon de commande, ainsi que l’absence de la mention « lu et approuvé », compromettaient la validité du contrat. La cour a précisé que cette mention est juridiquement sans valeur et n’affecte pas la validité du contrat de « visibilité Web » souscrit par le client, qui ne pouvait donc pas être résolu sur cette base. |
Dans le cadre d‘un litige portant sur la création d’un site internet et la publication des coordonnées d’un professionnel dans l’annuaire des Pages Jaunes, la juridiction a censuré un jugement du tribunal de commerce qui avait considéré que la date et la signature du client sur le bon de commande étaient illisibles, outre que le document n’aurait pas comporté la mention « lu et approuvé ». Cette mention est juridiquement indifférente à la validité du contrat. Le contrat de « visibilité Web » souscrit par le client n’encourait pas la résolution.
Laisser un commentaire