Le salarié auxiliaire de vie a été sanctionné pour abus de la liberté d’expression après avoir diffusé des images compromettantes d’une personne âgée dépendante, sans autorisation. Ses accusations de maltraitance à l’encontre de l’épouse de l’employeur, basées uniquement sur ses affirmations, n’étaient pas étayées par des preuves. Les témoignages des professionnels de santé et des assistantes de vie contredisaient ses allégations, attestant d’une prise en charge adéquate. En conséquence, le licenciement pour faute grave a été jugé fondé, entraînant la perte des indemnités de rupture et des congés payés, ainsi que le rejet de sa demande de rappel de salaire.
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