La société FOVEA, propriétaire de la marque P.I.N.K., a poursuivi PINK TV pour contrefaçon. Les juges ont constaté que la similitude visuelle entre les marques était minime et que la prononciation des lettres P.I.N.K. les transformait en acronymes, augmentant le risque de confusion pour le consommateur. Ils ont interdit à PINK TV d’utiliser la dénomination PINK, prononcé la nullité de ses marques et accordé 20 000 euros de dommages et intérêts à FOVEA. Les juges ont également souligné que l’ajout de « TV » était descriptif et n’apportait pas de caractère distinctif à la marque.
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