Le Conseil d’Etat a confirmé la légalité du refus de L’ARCOM d’autoriser une chaîne de télévision à diffuser des combats de K1. Cette décision repose sur la nécessité de protéger la dignité humaine, l’enfance et l’ordre public. L’ARCOM avait souligné que les combats de K1, bien que moins dangereux que d’autres formes de combat libre, manquent de garanties sanitaires et éthiques. Les lacunes incluent l’absence de contrôle médical, des risques pour l’intégrité physique des participants et des suspicions de dopage. Ces combats, organisés par des entités privées, s’inscrivent dans une logique commerciale peu sécurisée.
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