La publication par le magazine « Closer » d’informations sur la grossesse de Charlotte Casiraghi, ainsi que des photographies prises à son insu, constitue une atteinte manifeste à sa vie privée. Ces images, qui ne montrent pas de manière évidente son état, ont été diffusées sans son consentement, violant ainsi son droit à l’image. De plus, la diffusion d’informations fallacieuses, en mépris des droits de la personne et des principes déontologiques, ne peut être justifiée par la liberté d’expression. En conséquence, Charlotte Casiraghi a obtenu 15.000 euros en dommages et intérêts pour le préjudice moral subi.
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