Jurisprudence

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    Conseil constitutionnel, 30 décembre 1980, N° 80-126 DC

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    Le Conseil constitutionnel a validé, par sa décision du 30 décembre 1980, les dispositions de la loi de finances pour l’année 1981 concernant la redevance audiovisuelle. Cette décision confirme la légalité de la redevance, utilele pour le financement des services audiovisuels publics en France. En s’appuyant sur des principes constitutionnels, le Conseil a affirmé que…

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    Conseil constitutionnel, 30 décembre 1980

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    Le Conseil constitutionnel a validé, par sa décision du 30 décembre 1980, les dispositions de la loi de finances pour l’année 1981 concernant la redevance audiovisuelle. Cette décision confirme la légalité de la redevance, utilele pour le financement des services audiovisuels publics en France. En s’appuyant sur des principes constitutionnels, le Conseil a affirmé que…

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    Conseil constitutionnel, 21 novembre 1979, N° 79-111

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    Le Conseil constitutionnel a statué sur la nature juridique des articles 3 et 10 de l’ordonnance n° 59-273 du 4 février 1959, concernant la redevance pour l’usage des postes de radiodiffusion et de télévision. Il a conclu que ces dispositions revêtent un caractère réglementaire. Cette décision souligne l’importance de la redevance audiovisuelle dans le cadre…

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    Conseil constitutionnel, 21 novembre 1979

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    Le Conseil constitutionnel a statué sur la nature juridique des articles 3 et 10 de l’ordonnance n° 59-273 du 4 février 1959, concernant la redevance pour l’usage des postes de radiodiffusion et de télévision. Il a conclu que ces dispositions revêtent un caractère réglementaire. Cette décision souligne l’importance de la redevance audiovisuelle dans le cadre…

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    CJUE, 12 novembre 1974, 32/74

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    La CJUE a statué que les États membres ne peuvent pas garantir aux individus le droit d’effacer leurs données personnelles inscrites dans le registre des sociétés après la dissolution de celles-ci. Ce traitement de données répond à un objectif légitime de publicité légale, essentiel pour informer les tiers sur les sociétés. La Directive 68/151 du…

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    Conseil constitutionnel, 11 août 1960, N° 60-8

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    Le Conseil constitutionnel a censuré les articles 17 et 18 de la loi de finances rectificative pour 1960, affirmant que la perception de la redevance audiovisuelle, en tant que taxe parafiscale, nécessite une autorisation annuelle unique du Parlement, conformément à l’article 4 de l’ordonnance n°59-273 du 4 février 1959. Cette décision souligne l’importance du contrôle…

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    Conseil constitutionnel, 11 août 1960

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    Le Conseil constitutionnel a censuré les articles 17 et 18 de la loi de finances rectificative pour 1960, affirmant que la perception de la redevance audiovisuelle, en tant que taxe parafiscale, nécessite une autorisation annuelle unique du Parlement, conformément à l’ARCEPicle 4 de l’ordonnance n°59-273 du 4 février 1959. Cette décision souligne l’importance du contrôle…

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    Conseil d’Etat, 4 février 1949

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    L’usage de QR codes sur les tombes soulève des questions juridiques et éthiques. Les entreprises funéraires proposent d’apposer des plaques avec ces codes, permettant d’accéder à des informations sur le défunt via un smartphone. Cependant, cette pratique contourne l’article R. 2223-8 du code général des collectivités territoriales, qui exige l’approbation du maire pour toute inscription…

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    Conseil d’Etat, 4 février 1949, N° 1.000.000

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    Les entreprises funéraires innovent en proposant des plaques avec QR codes sur les monuments, permettant d’accéder à des informations sur le défunt via un smartphone. Ces données, modifiables à distance, contrastent avec les inscriptions traditionnelles, rendant leur contrôle par le maire plus complexe. En effet, l’article R. 2223-8 du code général des collectivités territoriales stipule…

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    Conseil d’Etat, 4 février 1949

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    L’usage de QR codes sur les tombes soulève des questions juridiques et éthiques. Les entreprises funéraires proposent d’apposer des plaques avec ces codes, permettant d’accéder à des informations sur le défunt via un smartphone. Cependant, cette pratique contourne l’article R. 2223-8 du code général des collectivités territoriales, qui exige l’approbation du maire pour toute inscription…

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    Conseil d’Etat, 4 février 1949

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    L’usage de QR codes sur les tombes soulève des questions juridiques et éthiques. Les entreprises funéraires proposent d’apposer des plaques avec ces codes, permettant d’accéder à des informations sur le défunt via un smartphone. Cependant, cette pratique contourne l’article R. 2223-8 du code général des collectivités territoriales, qui exige l’approbation du maire pour toute inscription…

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    Cour d’appel de Lyon, 21 mars 2023

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    La résolution d’un contrat de licence de logiciel ne peut être prononcée que par une clause contractuelle ou une décision judiciaire, conformément aux articles 1183 et 1184 du Code civil. Dans l’affaire opposant la société 5RM à Burosys, la première a tenté de faire annuler le contrat en raison de manquements supposés de la seconde,…

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    Cour d’appel de Lyon, 21 septembre 2022

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    Un salarié qui dépose une marque ou un nom de domaine créé durant son contrat de travail s’expose à des sanctions. Dans le cas de la websérie « donne-moi du mou », le salarié a affirmé avoir réalisé cette œuvre seul, sans supervision, mais la cour a jugé que cette création s’inscrivait dans ses missions contractuelles. Les…

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    Cour d’appel, 2023

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    Pour annuler la vente d’un logiciel, il est essentiel de prouver un manquement à l’obligation de délivrance conforme. Cela se produit lorsque le logiciel livré ne correspond pas aux spécifications du contrat ou aux besoins de l’acheteur. Dans une affaire récente, une société a échoué à obtenir la résolution de son contrat, malgré des problèmes…

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    Cour de cassation, 8 mars 2005

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    La Cour de cassation a annulé la décision d’une Cour d’appel qui avait jugé recevable une action en nullité de marque, arguant qu’une lettre recommandée avait interrompu le délai de cinq ans pour agir. Elle a précisé que seul un acte de procédure, tel qu’une citation en justice, un commandement ou une saisie, peut interrompre…

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    Cour de cassation, 9 février 1895

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    Le faux en matière artistique n’est pas systématiquement sanctionné par la contrefaçon. Selon la loi du 9 février 1895, imiter la signature d’un artiste pour tromper l’acheteur est puni d’une amende de 75.000 euros et de deux ans d’emprisonnement. Ce délit, distinct de la contrefaçon, nécessite la preuve que l’auteur du faux a apposé la…

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