Monsieur B., engagé en tant que régisseur par la SARL MARIE AMÉLIE PRODUCTION pour le film « Nelly », a contesté la nature de son contrat à durée déterminée. Il a saisi le Conseil de Prud’hommes pour obtenir sa requalification en contrat à durée indéterminée et dénoncer un licenciement abusif. Toutefois, sa demande a été rejetée. La juridiction a confirmé que son contrat relevait des contrats d’usage, autorisés par la loi, et que son engagement était clairement limité au tournage du film. Cette décision souligne les spécificités du droit du travail dans le secteur audiovisuel.
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