Type de juridiction : Tribunal judiciaire
Juridiction : Tribunal judiciaire de Paris
Thématique : Complicité de Contrefaçon par Référencement Internet
→ RésuméL’éditeur d’un site Internet peut être reconnu coupable de complicité de contrefaçon s’il référence une marque contrefaite, comme dans le cas d’un restaurant usurpant la marque « Les Deux Magots ». Cette décision, rendue par le Tribunal de Grande Instance de Paris le 13 février 2008, souligne la responsabilité des acteurs du web dans la protection des droits de propriété intellectuelle. Le référencement, en tant qu’outil de visibilité, ne doit pas servir à promouvoir des activités illégales, renforçant ainsi l’importance d’une vigilance accrue dans le choix des contenus référencés.
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Peut être condamné pour complicité de contrefaçon l’éditeur d’un site Internet qui référence sur son site Internet une marque contrefaite (à propos du référencement d’un restaurant contrefaisant la marque « Les Deux Magots »).
Mots clés : référencement
Thème : Referencement – Internet
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Tribunal de Grande Instance de Paris | 13 fevrier 2008 | Pays : France
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