Les marques CRAX et KRAK, bien que désignant des produits similaires, ne peuvent être confondues. Leur coexistence est donc légitime, comme l’a souligné l’INPI. Visuellement, elles diffèrent par leur structure et leur longueur : KRAK est un mot de quatre lettres, tandis que CRAX est composé de deux éléments. Phonétiquement, les sonorités d’attaque et le rythme divergent également. Intellectuellement, aucune signification ne rapproche les deux marques. Ainsi, la comparaison globale révèle des différences notables, excluant tout risque de confusion pour le consommateur, qui percevra ces signes comme distincts et sans lien d’origine.. Consulter la source documentaire.

Quelles sont les différences visuelles entre les marques CRAX et KRAK ?

Les marques CRAX et KRAK se distinguent visuellement par leur structure et leur longueur.

Le signe contesté, KRAK, est composé d’un seul élément verbal de quatre lettres, tandis que la marque CRAX est formée de deux termes, l’un de trois lettres «eti» et l’autre de quatre lettres «crax».

De plus, la terminaison des deux marques est différente : K pour KRAK et X pour CRAX.

Cette différence de structure et de longueur contribue à créer une impression visuelle distincte pour chaque marque.

Le signe KRAK est également encadré par deux lettres K, ce qui lui confère une physionomie particulière, d’autant plus que la lettre K est peu courante en français, attirant ainsi l’attention du consommateur.

Quelles sont les différences phonétiques entre les marques CRAX et KRAK ?

Phonétiquement, les marques CRAX et KRAK présentent des sonorités d’attaque et un rythme distincts.

Le signe contesté, KRAK, se prononce en une seule syllabe, tandis que la marque antérieure, CRAX, se prononce en trois syllabes.

Cette différence de rythme et de sonorité contribue à renforcer l’impression d’absence de confusion entre les deux marques.

Ainsi, même si les deux marques partagent certaines lettres, leur prononciation et leur structure rythmique sont suffisamment différentes pour éviter toute confusion chez le consommateur.

Quelles sont les différences intellectuelles entre les marques CRAX et KRAK ?

Intellectuellement, les marques CRAX et KRAK ne présentent pas de signification particulière qui pourrait les rapprocher ou les distinguer.

Il est possible que certains consommateurs associent le signe KRAK à l’onomatopée «crac», mais cette association ne peut pas être faite avec la marque CRAX, qui se prononce [kraks].

De plus, l’onomatopée «crac» pourrait être perçue comme étant liée à des produits croustillants, tels que les biscottes, mais cela ne suffit pas à établir un lien entre les deux marques pour d’autres types de produits.

En somme, les différences conceptuelles entre les deux marques sont suffisamment marquées pour exclure tout risque de confusion.

Comment la comparaison globale des signes CRAX et KRAK exclut-elle le risque de confusion ?

La comparaison globale et objective des signes CRAX et KRAK montre qu’ils ne présentent pas la même impression d’ensemble.

Leurs différences visuelles, phonétiques et conceptuelles sont prépondérantes, ce qui exclut tout risque de confusion pour le consommateur.

Cette impression d’ensemble est renforcée par l’analyse des éléments distinctifs et dominants de chaque marque.

L’INPI a noté que les deux marques ne partagent pas d’éléments distinctifs communs, chaque terme ayant un caractère distinctif équivalent.

Ainsi, le consommateur perçoit chaque marque comme un tout, sans être induit en erreur quant à leur origine respective.

Quels éléments distinctifs et dominants influencent la perception des marques CRAX et KRAK ?

Les éléments distinctifs et dominants jouent un rôle déterminant dans la perception des marques CRAX et KRAK.

L’INPI a souligné que les deux marques ne présentent pas d’éléments distinctifs communs, chaque terme ayant un caractère distinctif équivalent.

Dans la marque CRAX, les termes «ETI» et «CRAX» sont présentés sur la même ligne avec une graphie identique, sans qu’aucun ne domine l’autre.

En revanche, le signe contesté KRAK est composé d’un seul élément verbal distinctif.

Cette différence dans la composition des marques contribue à renforcer l’impression d’absence de confusion pour le consommateur, qui les appréhende comme des entités distinctes.