Cour de cassation, ch. crim., 23 Février 2010
Cour de cassation, ch. crim., 23 Février 2010

Type de juridiction : Cour de cassation

Juridiction : Cour de cassation

Thématique : Publicité mensongère dans l’immobilier : condamnation d’une agence pour surface inexacte

Résumé

La publicité mensongère, notamment dans le secteur immobilier, peut entraîner des sanctions sévères. Dans une affaire jugée par la Cour de cassation le 23 février 2010, une agence immobilière a été condamnée pour avoir diffusé une annonce comportant une surface inexacte d’une maison à vendre. Les acheteurs, victimes de cette tromperie, ont obtenu 25 000 euros de dommages-intérêts, tandis que l’association UFC Que Choisir a reçu 3 000 euros. Cette décision souligne l’importance de la véracité des informations dans les annonces immobilières et les conséquences juridiques d’une publicité trompeuse.

Est passible du délit de publicité trompeuse, le fait de publier une annonce immobilière de vente d’une maison dont la surface annoncée est inexacte. Dans l’affaire soumise, l’agence immobilière a l’origine de l’annonce a été condamnée à 25 000 euros de dommages-intérêts aux acheteurs victimes et 3 000 euros à l’UFC Que Choisir.

Mots clés : Publicite mensongere

Thème : Publicite mensongere

A propos de cette jurisprudence : juridiction :  Cour de cassation, ch. crim. | Date : 23 fevrier 2010 | Pays : France

 


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