En tant que professionnel, une société d’édition ne peut se méprendre sur les règles applicables en matière de reproduction de photographie, en reproduisant un cliché sans solliciter préalablement l’autorisation du photographe. De surcroît, le cliché litigieux portait en son dos un tampon ainsi rédigé » photo 400-4 INGI- PARIS Mention obligatoire Tous droits réservés « , ce qui permettait à l’éditeur, dès l’origine, de connaître l’identité de l’auteur du cliché.