Nos Conseils:
1. Sur la computation de la période d’essai: 2. Sur la rupture abusive de la période d’essai: 3. Sur le harcèlement moral: |
→ Résumé de l’affaireM. [W] [Z] a été embauché par la société CGMI en mars 2020, placé en activité partielle en raison du confinement, puis victime d’un accident de travail en juin 2020. Il a été licencié pendant son arrêt de travail, ce qui a été jugé nul par le conseil de prud’hommes de Besançon. La société CGMI a fait appel de cette décision, demandant l’annulation de la nullité de la rupture de la période d’essai. M. [W] [Z] demande des dommages-intérêts pour le licenciement nul, ainsi que pour non-respect de l’obligation de santé et de sécurité et harcèlement moral. Les parties ont des demandes contradictoires et l’affaire est en attente de jugement après l’ordonnance de clôture rendue en mars 2024.
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