Nos Conseils:
1. Sur le bien fondé du licenciement: 2. Sur la nullité du licenciement: 3. Sur les dommages-intérêts pour défaut d’organisation d’une visite de reprise: |
→ Résumé de l’affaireM. [X] [G] a été embauché par la société CADOLES en septembre 2018 dans le cadre d’un contrat de professionnalisation, puis en CDI en septembre 2019. Il a été licencié pour faute grave en avril 2020, ce qu’il conteste devant le conseil de prud’hommes de Dijon. Le conseil a rejeté ses demandes, ce qui l’a poussé à faire appel. Il demande l’annulation de son licenciement, des dommages-intérêts pour licenciement nul ou sans cause réelle et sérieuse, ainsi que diverses indemnités. La société CADOLES demande la confirmation du jugement et des dommages-intérêts pour procédure abusive.
|