Nos Conseils:
I. Sur les heures supplémentaires: II. Sur les dommages et intérêts pour violation de la réglementation du travail: III. Sur les dommages et intérêts pour violation de l’obligation de loyauté et de sécurité: |
→ Résumé de l’affaireMme [Z] a été employée en tant que réceptionniste par la SAS [6] à partir de 1995, puis a été promue chef de réception en 2018. Après un arrêt maladie en 2019, elle a demandé une rupture conventionnelle de son contrat de travail, puis a pris acte de sa rupture en août 2019. Le conseil de prud’hommes de La Rochelle a jugé que la rupture du contrat produisait les effets d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse, condamnant la SAS [6] à verser à Mme [Z] diverses sommes au titre de rappel de salaires, dommages et intérêts, indemnités de préavis et de licenciement. La SAS [6] a interjeté appel de cette décision, contestant les condamnations prononcées. Mme [Z] demande à la cour de confirmer le jugement du conseil de prud’hommes et de condamner la SAS [6] à lui verser des dommages et intérêts supplémentaires. L’affaire est en attente de délibéré après les débats.
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