Contexte de l’affaireLe litige concerne un bail résilié entre [I] [J] et [V] [G] d’une part, et NEOLIA d’autre part, avec une ordonnance de référé du 8 février 2024 qui a ordonné l’expulsion des occupants et a fixé des indemnités à payer à NEOLIA. Décisions judiciairesLe juge a constaté la résiliation du bail, ordonné l’expulsion des occupants, et condamné [I] [J] et [V] [G] à verser une indemnité d’occupation mensuelle ainsi qu’une somme provisionnelle. Une rectification a été faite le 16 mai 2024, remplaçant NEOLIA par la SA 3F SUD. Commandement d’expulsionLe 5 juillet 2024, la SA 3F SUD a signifié un commandement d’avoir à quitter les lieux à [I] [J] et [V] [G], suite à la décision judiciaire. Demande de délaisLe 3 septembre 2024, [I] [J] et [V] [G] ont demandé des délais pour quitter les lieux, invoquant des difficultés financières dues à une agression subie par [V] [G] en janvier 2023. Arguments de la SA 3F SUDLa SA 3F SUD s’est opposée à la demande de délais, soulignant le non-respect des obligations de paiement par [I] [J] et [V] [G], et a demandé une indemnité supplémentaire. Analyse de la situationLe juge a examiné la situation des occupants, notant leur âge, leur absence de profession, et leur situation financière précaire, mais a constaté qu’aucun effort suffisant n’avait été fait pour régulariser leur situation. Décision finaleLe juge a rejeté la demande de délais pour quitter les lieux, condamnant [I] [J] et [V] [G] aux dépens, et a décidé de ne pas appliquer l’article 700 du code de procédure civile. |
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