Nos Conseils:
1- Sur le harcèlement moral: 2- Sur le vice du consentement: 3- Sur les frais irrépétibles et les dépens: |
→ Résumé de l’affaireM. [E], employé par la société Conforama en tant que chauffeur-livreur monteur, a été victime d’un accident du travail en 2013. Après une rechute, il a été déclaré inapte à son poste initial et reclassé. En 2018, une rupture conventionnelle de son contrat de travail a été signée, mais M. [E] a contesté sa validité et a saisi le conseil de prud’hommes de Nanterre. Le conseil a jugé que la rupture conventionnelle n’était pas nulle et a débouté M. [E] de ses demandes. M. [E] a interjeté appel et demande désormais à la cour de reconnaître la nullité de la rupture conventionnelle, de condamner la société Conforama à lui verser diverses indemnités et dommages et intérêts. La société Conforama, de son côté, demande à la cour de confirmer le jugement du conseil de prud’hommes et de débouter M. [E] de ses demandes.
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